Notre confrère Moussa Aksar a intégré la Plateforme de Protection des Lanceurs d’Alerte en Afrique (PPLAAF). Un grand réseau composé d’imminents experts dans plusieurs domaines.
La Plateforme de Protection des Lanceurs d’Alerte en Afrique (PPLAAF) vise à défendre les lanceurs d’alerte, ainsi qu’à mener des plaidoyers et engager des contentieux stratégiques en leur nom lorsque leurs révélations traitent de l’intérêt général des citoyens africains, lit-on sur le site de la plateforme.
Ses missions sont diverses. En gros, la PPLAAF offre aux lanceurs d’alerte, aux ONG, aux médias et aux autorités une communication sécurisée ; une assistance juridique ; une assistance médiatique et mène des recherches et des plaidoyers.
Avec à sa tête Maître William Bourdon, avocat au Barreau de Paris, spécialisé en droit des sociétés, droit des médias et droit pénal, la plateforme regroupe d’éminents experts issus de divers domaines, notamment des défenseurs des droits humains ; des journalistes d’investigation ; des chercheurs, écrivains, réalisateurs etc.
En intégrant ce réseau, Moussa Aksar honore, une fois de plus, le Niger en portant loin son nom. Il est déjà membre de plusieurs réseaux et organisations des journalistes d’investigation, tels que le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) ; Organized Crime and Corruption Reporting Project (ORCCP) ainsi que le Réseau international de journalisme d’investigation (GIJN).
Auteur de plusieurs enquêtes, le Directeur de Publication du journal l’Événement-Niger est reconnu pour son engagement dans la lutte contre la corruption et les malversations financières, le trafic de drogue, les faux médicaments et les violations des droits de l’homme.
De novembre 2019 à avril 2023, il a dirigé le Conseil d’Administration de la Cellule Norbert Zongo pour le journalisme d’investigation en Afrique de l’Ouest (CENOZO). Bravo Moussa.
Ahmadou Atafa
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